Ou bien on transmet l'espoir ou bien on transmet le désespoir.
Le désespoir c'est le fatalisme, le blocage, la fixation, l'arrêt.
Rien, rien... ne reste ni ne demeure.
Alors une vérité n'est que celle qui, ou la recherche, ou la devient en se faisant son récepteur, son défenseur, son matériau.
Comme la cire d'une bougie ou comme l'air qui reçoit la lumière, rien de plus.
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