jeudi 22 mai 2008

- Le cercle de vie

- Le symptôme.

Avoir peur de quelque chose c'est une réaction à quelque chose de présent et réel (un loup) ou à quelque chose de virtuel (le futur, le passé...).
Ne plus chercher la vérité est impossible mais ça fait mal parfois car nous sommes maladroits dans notre recherche ou parce que ce que nous apprenons dans notre recherche n'est pas ce que nous espérions, est laid et nous affecte.

L'espoir crée le desespoir qui crée l'espoir car lorsqu'on désespère on cherche à ne plus désespérer et on fini par trouver que désespérer ce n'est pas constructif, ce n'est pas une forme de vivre épanouissante. Néanmoins le désespoir peut trouver une très bonne solution avec le temps: il aura fait travailler le cerveau et aura fait faire un effort au cerveau; ce qu'il aime.

Nos cellules aiment vivre, faire des "efforts". Le fatalisme vécu (avec son dos et ses épaules, ou avec ses yeux et ses lèvres tristes) mais avant tout: pensé... ; fait vivre nos cellules cérébrales mais pas toutes. Une partie est heureuse dans la souffrance du fatalisme mais une autre partie ne vit pas. Le fatalisme est un déséquilibre, avant tout mental puis un déséquilibre dans les paroles et dans les actes et dans la santée corporelle.

Notre corps entier s'aime mais nous créons un déséquilibre quand ce que nous pensons ou ce que nous faisons fait mal au corps (ou le cerveau ou une partie du corps).

Le corps est un avec lui-même.

La souffrance c'est le corps (y compris le cerveau qui accueille de mauvaises pensées fatalistes ou déprimantes) qui nous dit que ça ne va pas, qu'il y a erreur.

La philosophie a retrouvé sa vraie fonction: guérir l'âme.

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